Ces résultats montrent des situations qui restent préoccupantes pour les 4 cancers de mauvais pronostic étudiés, sans amélioration majeure de la survie nette à 5 ans (glioblastomes notamment), à l'exception de celle des adénocarcinomes de l'œsophage qui s'est récemment améliorée.
Les améliorations de la survie nette à 5 ans observées pour les 10 autres cancers sont toutefois à nuancer car ces gains ne concernent pas tous les âges et les écarts de survie en défaveur des hommes persistent, pour les cancers concernant les hommes et les femmes.
Université / CHU de POITIERS